je ne crois pas qu'il faut chercher à utiliser des mots que les gens "comprennent" (c'est justement cela qui fout la merdouille) mais chercher à faire comprendre aux gens les divers concepts qui régissent les documents concernant du loup en particulier et/ou de la "biodiversité".
idéalement si tous utilisaient le même vocabulaire, cela pourrait semble t il simplifier -- concept intéressant mais irréel puisque le problème étant que chaque corps de métier utilise des mêmes mots qui définissent en fait des choses différentes
si on est du même corps de métier -- alors c'est simple, on utilise les définitions et concepts propre à ce dernier
quand le document (ou autre) passe entre "toutes les mains", pour la plupart cela deviendra complexe car chaque personne des "autres corps de métiers" devront faire l'effort de traduction; c'est ainsi
donc non il ne faut pas dire "un mot" (ou se focaliser sur une "version" du mot) pour expliquer aux gens, il faut expliquer "le concept" dans son entièreté, c'est à dire par exemple pour les loups dans les alpes que le loup est revenu sans qu'il n'y ai d'intervention humaine pour l'y (re)mettre c'est à dire qu'on a pas pris des loup et qu'on les y a "lâché" à un endroit appelé alpes mais que sa présente est due à un complexe cumule de circonstances tels que mesure de protection - moindre élimination (chasse, braconnage, etc) - vision autre de la "gestion territoriale" (plus de parc, d'espace "sauvage", mentalité plus "écologique" de la pensée populaire, etc) - de l'exode rural - comportement dans le cadre de la gestion de territoires des loups (territorialité, dispersion, etc) - etc
pour le dire en court après qu'on emploie tel ou tel "raccourci" langagier oui cela peut se faire mais uniquement dans des cadres particuliers ou tous les intervenants sont "d'accord" sur la définition des mots -- dans le cas contraire, c'est déconseillé et il faut donc à chaque fois faire le "long discours" pour éviter les malentendus ou mauvaises interprétations